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Pour ne pas oublier que ce qui se passe à Sderot a commencé par l'évacuation du Goush Katif.


Evacuation de Névé Dékalim en 2005
17 mars 2007 6 17 /03 /mars /2007 17:57

LeMonde.fr

Sept mois après l'adoption de la résolution 1701, qui a mis fin aux combats dans le Liban sud, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a remis au Conseil de sécurité, mercredi 14 mars, un rapport dans lequel il se dit "préoccupé" par "le danger croissant" posé par des "extrémistes islamistes" abrités dans des camps palestiniens au Liban, "s'inquiète" de mouvements de combattants soupçonnés d'appartenir au Hezbollah. ce rapport fait également part d'informations israéliennes concernant de "graves violations de l'embargo sur les armes".

Selon le document, "des éléments armés, soupçonnés d'appartenir au Hezbollah, ont été vus en train de construire de nouvelles installations dans la région de Bourrhoz, juste au nord du fleuve Litani", en bordure de la zone tampon occupée par la Force des Nations unies au Liban (Finul). Cette zone commence au sud du fleuve et s'étend jusqu'à la "ligne bleue" de démarcation avec Israël. Selon un responsable onusien, ces installations "militaires" comprendraient notamment des dépôts d'armes et pourraient servir de pas de tir à des missiles longue portée "à distance de frappe contre Israël".

Le rapport fait, par ailleurs, état "d'un certain nombre d'informations concernant des activités d'hommes armés" au nord du Litani et relève que ni le gouvernement libanais ni le Hezbollah ne les contestent. Dans leur zone d'opération, les soldats de la Finul n'ont intercepté ni armes ni combattants, mais des "personnels non armés, soupçonnés d'affiliation au Hezbollah, ont été vus en train d'observer les activités de la Finul", notamment "en prenant des photos et en filmant".

Au cours des dernières semaines, les services de renseignement israéliens ont fait des présentations détaillées aux responsables onusiens faisant état de "centaines de livraisons" d'armes, "y compris des roquettes de longue et de courte portées et de systèmes de défense anti-aérien et antitanks, qui ont traversé la frontière libano-syrienne". Les informations israéliennes, "plus détaillées que par le passé", sont "substantielles", estime Ban Ki-moon, mais "leur authentification nécessiterait une évaluation militaire indépendante".

Le secrétaire général de l'ONU recommande toutefois au Conseil de sécurité de mandater une mission d'évaluation indépendante pour étudier le dispositif libanais de surveillance de la frontière et "exhorte" nommément la Syrie et l'Iran, soupçonnés de faciliter le trafic d'armements, à faire respecter la résolution 1701, qui instaure théoriquement un embargo sur les armes à destination des milices.

M. Ban note aussi que le 16 février, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé que "des combattants du Hezbollah (étaient) présents dans le Liban sud", que l'organisation disposait "d'une grande quantité d'armes" et revendiquait le droit "de déplacer ses armes dans le pays pour combattre Israël", en violation de la résolution 1701 qu'il avait pourtant acceptée.

"Je m'inquiète de la menace grandissante que font peser sur la présence des Nations unies des groupes d'extrémistes islamistes, qui ont, rapporte-t-on, trouvé un abri sûr dans des camps de réfugiés palestiniens", écrit par ailleurs M. Ban.

Le 8 décembre 2006, Le Monde rapportait, citant des sources palestiniennes et libanaises, qu'un commando d'une cinquantaine de militants affiliés à Al-Qaida et ayant combattu en Irak s'était infiltré dans un camp palestinien dans le nord du Liban pour y perpétrer "un complot terroriste" initié de Damas "visant à assassiner trente-six personnalités libanaises antisyriennes".

Ces militants appartenaient à un groupuscule palestinien, le Fatah Al-Islam, dont quatre membres ont été capturés et ont reconnu, selon des déclarations faites mardi par le ministre libanais de l'intérieur, Hassan Al-Sabeh, avoir commis, le 13 février, un double attentat contre deux minibus qui avait fait trois morts dans un hameau chrétien au nord-est de Beyrouth. Fatah Al-Islam, qui, selon M. Sabeh, "travaille de près avec les services de renseignement syriens", a démenti toute implication.

Le rapport onusien dénonce aussi des "violations" de la "ligne bleue" et de l'espace aérien libanais par l'aviation israélienne. Les survols du Liban sont en augmentation depuis six semaines et peuvent culminer jusqu'à dix par jour, selon le document. Israël justifie ces violations par la nécessité de surveiller l'embargo sur les armes, mais M. Ban demande à l'Etat juif de "reconsidérer" sa position et de fournir "de toute urgence" toutes les informations à sa disposition sur les bombes à sous-munitions tirées lors de la guerre de l'été 2006 sur le Liban et qui continuent à faire des morts parmi la population civile.


Philippe Bolopion

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16 mars 2007 5 16 /03 /mars /2007 21:30

Après trois ans à Guatanamo, le numéro trois d'Al Quaïda, Khaled Sheikh Mohamed, avoue ses responsabilités d'archi-terroriste.

Entre la plannification des attentats du 11 Septembre et l'attaque d'avion El Al à Mombassa (Kénya), il a égorgé et décapité de ses propres mains "le journaliste juif" Daniel Pearl à Karashi.

La liste est longue des ses exactions et de celles qu'il a plannifiées mais n'a pas eu le temps de mettre à exécution!

1. I was responsible for the 1993 World Trade Center Operation

2. I was responsible for the 9/11 Operation, from A to Z.

3. I decapitated with my blessed right hand the head of the American Jew, [Wall Street Journal reporter] Daniel Pearl, in the city of Karachi, Pakistan. For those who would like to confirm, there are pictures of me on the Internet holding his head.

4. I was responsible for the Shoe Bomber Operation to down two American airplanes.

5. I was responsible for the Filka Island operation in Kuwait that killed two American soldiers.

6. I was responsible for the bombing of a nightclub in Bali, Indonesia, which was frequented by British and American nationals.

7. I was responsible for planning, training, surveying, and financing the New (or Second) Wave attacks against the following skyscrapers after 9/11:
      a. Library Tower, California.
      b. Sears Tower, Chicago,
      c. Plaza Bank, Washington state.
      d. The Empire State Building, New York City.

8. I was responsible for planning, financing, & follow-up of Operations to destroy American military vessels and oil tankers in the Straights of Hormuz, and Straights of Gibralter, and the Port of Singapore.

9. I was responsible for planning, training, surveying, and financing for the Operation to bomb and destroy the Panama Canal.

10. I was responsible for surveying and financing for the assassination of several former American Presidents, including President Carter.

11. I was responsible for surveying, planning, and financing for the bombing of suspension bridges in New York.

12. I was responsible for planning to destroy the Sears Tower by burning a few fuel or oil tanker trucks beneath it or around it.

13. I was responsible for planning, surveying, and financing for the operation to destroy Heathrow Airport, the Canary Wharf Building, and Big Ben on British soil.

14. I was responsible for planning, surveying, and financing for the destruction of many night clubs frequented by American and British citizens on Thailand soil.

15. I was responsible for surveying and financing for the destruction of the New York Stock Exchange and other financial targets after 9/11.

16. I was responsible for planning, financing, and surveying for the destruction of buildings in the Israeli city of Elat by using airplanes leaving from Saudi Arabia.

17. I was responsible for planning, surveying, and financing for the destruction of American embassies in Indonesia, Australia, and Japan.

18. I was responsible for surveying and financing for the destruction of the Israeli embassy in India, Azerbaijan, the Philippines, and Australia.

19. I was responsible for surveying and financing for the destruction of an Israeli 'El-Al' Airlines flight on Thailand soil departing from Bangkok Airport.

20. I was responsible for sending several Mujahadeen into Israel to conduct surveillance to hit several strategic targets deep in Israel.

21. I was responsible for the bombing of the hotel in Mombasa that is frequented by Jewish travelers via El-Al airlines.

22. I was responsible for launching a Russian-made SA-7 surface-to-air missile on El-Al or other Jewish airliner departing from Mombasa.

23. I was responsible for planning and surveying to hit American targets in South Korea, such as American military bases and a few night clubs frequented by American soldiers.

24. I was responsible for financial, excuse me, I was responsible for providing financial support to hit American, Jewish, and British targets in Turkey.

25. I was responsible for surveillance needed to hit nuclear power plants that generate electricity in several U.S. states.

26. I was responsible for planning, surveying, and financing to hit NATO Headquarters in Europe.

27. I was responsible for the planning and surveying needed to execute the Bojinka Operation, which was designed to down twelve American airplanes full of passengers. I personally monitored a found-trip, Manila-to-Seoul, Pan Am flight.

28. I was responsible for the assassination attempt against President Clinton during his visit to the Philippines in 1994 or 1995. . . .

29. I shared responsibility for the assassination attempt against Pope John Paul the second while he was visiting the Philippines.

30. I was responsible for the training and financing for the assassination of Pakistan's President Musharraf.

31. I was responsible for the attempt to destroy an American oil company owned by the Jewish former Secretary of State, Henry Kissinger, on the Island of Sumatra, Indonesia

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16 mars 2007 5 16 /03 /mars /2007 06:02
Texte original anglais : "BBC Acknowledges Partisan Reporting".
Traduction française : Menahem Macina


Un article consacré par site Web de la BBC au correspondant de la chaîne au Moyen-Orient, Alan Johnston, kidnappé hier par des Palestiniens armés, contient une citation du correspondant de la BBC pour les questions diplomatiques, Paul Adams, qui témoigne de ce que la BBC oriente intentionnellement ses informations en provenance de cette région

La BBC présente Johnston comme " un journaliste très expérimenté et respecté ".

"Sa tâche consiste à nous transmettre quotidiennement des comptes-rendus de la pénible situation palestinienne dans la bande de Gaza", affirme Paul Adams, le correspondant de la BBC pour les questions diplomatiques, lui-même ancien correspondant au Moyen-Orient.


Voilà donc où nous en sommes : la BBC a envoyé un correspondant permanent à Gaza in Gaza, non pas pour rendre compte objectivement des événements quotidiens, mais pour faire des comptes rendus quotidiens sur "la pénible situation palestinienne".

Une question pour la BBC:

Existe-t-il des journalistes de la BBC, dont la tâche est de nous rendre compte, jour après jour, de la pénible situation israélienne à Sdérot, ou n’importe où ?


[Texte anglais aimablement signalé par Kae.] Snapshots - Blog de CAMERA
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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:56
vu sur le site Alain Jean-Mairet

Ils ne vont pas encore à l’école, mais ils sont fiers que leur mère ait tué cinq Juifs (le terme utilisé est bien «Juifs», pas «Israéliens» ou «sionistes»), même si elle est morte pour ça. Et la poésie de la petite évoque dieu dans chaque phrase. L’animateur est rayonnant, les enfants aussi. Et personne ne s’offusque. Et à l’école, ce sera encore bien pire. Et après?

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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:45
Les délégations israélienne et américaine ont quitté hier la conférence de l’ONU sur le désarmement, à Genève, en raison des propos du ministre iranien des Affaires étrangères accusant l’État juif d’être « la véritable source du danger nucléaire au Proche-Orient ».
Manouchehr Mottaki a déclaré que l’arsenal nucléaire israélien constituait une « menace exceptionnellement grave à la paix et à la sécurité régionale et internationale », nécessitant une initiative de la communauté internationale. Il a aussi accusé Israël d’être un « régime sioniste avec une longue et sombre histoire de crimes et d’atrocités » comprenant occupation, « terrorisme d’État » et crimes contre l’humanité.
« Il est surprenant que, alors que quasiment aucune initiative n’est prise pour contenir la véritable source du danger nucléaire au Proche-Orient, mon pays soit soumis à une énorme pression pour le faire renoncer à son droit inaliénable à l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire », a déclaré Mottaki au cours de cette conférence.
Dans un communiqué, l’ambassadeur israélien au siège de l’ONU à Genève, Itzhak Levanon, a fait savoir que sa délégation et celle des États-Unis avaient « brusquement quitté la pièce alors que le ministre des Affaires étrangères de l’Iran (...) se trouvait au milieu d’un discours au vitriol ».
Une porte-parole des États-Unis à Genève a confirmé cette sortie et jugé les propos de Mottaki « scandaleux et diviseurs », alors que cette conférence vise à trouver un terrain d’entente sur la question des armements dans le monde.
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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:40
Jean-Christophe Ploquin, à Jérusalem 

Les combats contre le Hezbollah se situant à mi-chemin entre le conflit de basse intensité et la guerre conventionnelle, l’armée israélienne a commencé à se préparer en conséquence. Les généraux attendent avec anxiété les conclusions de la commission d’enquête présidée par un ancien juge à la Cour suprême, Eliyahou Winograd, qui doit rendre ses conclusions d’ici à la fin du mois. Dan Haloutz, le chef d’état-major en poste lors du conflit, a déjà été contraint à la démission en janvier, le commandant de la région Nord, qui dirigeait les opérations, ayant été remplacé dès la fin du conflit.


Lire l’article sur : http://www.la-croix.com/


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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:18

tea-packs.jpg

TeapacksEurovision Israël fin de la polémique
Israël accepté à l'Eurovision avec sa chanson qui dénonce les dangers du nucléaire
PressInfos 14 Mars 2007 | La chanson sur la menace nucléaire présentée par Israël pour le concours de l'Eurovision 2007 a été acceptée, malgré la polémique qu'elle a suscité, ont annoncé mercredi les organisateurs de l'événement suivi l'an dernier par 100 millions de téléspectateurs en Europe, rapporte le journal en ligne belge 7SUR7. La chanson prévue pour représenter Israël le 10 mai prochain à Helsinki, risquait d'être interdite. « Pressez le bouton », est pourtant une véritable pochette surprise musicale, une chanson qui dénonce les dangers du nucléaire et la beauté de la vie. Le groupe Tea-Packs a probablement souhaité faire preuve de pédagogie en envoyant un message clair : certains pays comme l’Iran surtout, la Corée du Nord également menacent le monde. Sans les citer nommément pour autant. C’est pour cette raison que Kobi Oz, le chanteur du groupe, rappelle que les paroles de cette chanson comprennent des passages en anglais, en français et en hébreu, ainsi que divers styles musicaux. Des rumeurs et des déclarations de certains organisateurs finlandais avaient un moment laissé penser que la contribution israélienne pourrait être refusée en raison de ses références implicites au programme nucléaire de l'Iran. "Les règles de l'Eurovision sont très claires: elles ne doivent contenir ni langage grossier, ni propagande politique", a rappelé Svante Stockselius, de l'Union européenne de radio-télévision (EBU).
PressInfos 14 Mars 2007 | source: 7SUR7.be

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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:06
Par Albert Soued

C'est la mode aujourd'hui chez les antisémites et chez ceux qui ont la haine viscérale d'Israël de dire qu'on les fait taire, alors qu'on n'entend plus qu'eux dans la cité. Dans le cas où vous ne l'auriez pas su … le mois dernier, les campus universitaires des Etats-Unis, du Canada et de Grande Bretagne ont accueilli "la Semaine de l'Apartheid Israélien". D'éminents érudits et artistes s'y sont réunis pour partager la même opinion, l'attitude exécrable de l'Etat d'Israël (vis-à-vis de ses minorités).
Cette blague étonnante a été présentée au Collège Hunter de New York, à l'Université de Toronto et même à Oxford et Cambridge, mais là c'est à peine choquant.
Ce qui paraît étrange, c'est l'augmentation sensible ces dernières années du dénigrement systématique de l'état d'Israël et pas seulement dans les universités, et surtout l'influence croissante de Juifs opposés à Israël. L'inversion de la vérité y est devenue monnaie courante, alors que les communautés juives fêtent Pourim, la commémoration d'un holocauste évité ou plutôt renversé. En effet, on fait passer un minuscule état Juif pour le puissant oppresseur de vastes univers arabes et musulmans.


Par Jonathan S Tobin, rédacteur en chef de Jewish Exponent – Philadelphia- USA (Paru dans le Jerusalem Post du 1er Mars 2007 repris dans l'éd Internationale du 9/15-3-2007)

Pourim est une fête où on commémore le sauvetage des Juifs de Perse qui, à la fin de l'exil de Babylone (5ème s avant l'ère courante) étaient condamnés à mort en tant que nation. Le complot ayant été déjoué, depuis cette époque, on célèbre cette heureuse issue par une fête folle où on se travestit, on fait des blagues ou des mimes, on joue des rôles ou aux cartes, où tout est occasion de "renverser le sort" ou le destin (pourim en hébreu).

Alors que ces facéties sont des jeux innocents de courte durée, les travestissements de la réalité politique opérés par la foule anti-israélienne sont des canards continus dont la puissance devient envahissante au point de nous concerner tous. L'accusation d'Israël pour "apartheid", rendue populaire aux Etats-Unis par le livre odieux de l'ex-président J Carter, est une insulte aux souffrances des Noirs Sud-Africains. Elle est si éloignée de la vérité que tout débat sur le sujet frôle l'absurde. Dans la démocratie Israélienne, il est notoire que la minorité arabe jouit non seulement de la liberté de vote, mais de la liberté de parole et d'expression, aussi bien au Parlement, avec une forte et tonitruante représentation arabe, qu'au gouvernement, où un ministre arabe vient d'être nommé (1).

Depuis une quinzaine d'années, la politique constante des gouvernements successifs d'Israël a été de se dessaisir de leur autorité sur nombre de territoires contestés, territoires saisis lors de la guerre imposée par les pays arabes voisins en 1967. Depuis les accords d'Oslo en 1993, les Palestiniens sont autonomes; et ils gouvernent Gaza comme un état indépendant, depuis le retrait unilatéral (et douloureux) de 2005. A Gaza il n'y a non
seulement
aucun soldat Israélien, mais aucune trace de vie juive…

Les Palestiniens ont refusé toute offre de paix, même avant la renaissance de l'Etat d'Israël en 1948 sur sa terre historique. En l'an 2000, leur chef Yasser Arafat a refusé une offre d'état souverain, où il pouvait contrôler pratiquement tous les territoires contestés en Judée et Samarie et tout Gaza. Sa réponse à cette offre a été une guerre d'usure et de terreur qui a duré 5 ans. Depuis, les Palestiniens ont élu librement le Hamas, un groupe terroriste, pour les gouverner. La Charte de ce groupe prévoit la destruction de l'Etat d'Israël (et ses chefs le répètent à toute occasion).

Ainsi, même pour les Juifs qui souhaitent se débarrasser de tous les territoires acquis lors de la guerre d'auto-défense de 1967 – par exemple le groupe "la paix maintenant" – et pour ceux qui soutiennent par principe tout processus de paix (malgré d'évidentes embuches), il est clairement compris que si le conflit persiste aujourd'hui, ce n'est pas du fait de l'état d'Israël.

Pourtant, malgré ces faits, les notions inversées d'Israël "agresseur" et des Palestiniens "victimes" persistent. Elles persistent non seulement chez tous les extrémistes, les groupes gauchistes ou ceux de la droite la plus fasciste, mais aussi dans les milieux libéraux et universitaires d'Europe et d'Amérique où elles sont communément admises.
Et malheureusement de nombreux Juifs y sont inclus et, dans ce travestissement de la réalité, ils oeuvrent à inverser le verdict final de Pourim.
Dans le livre d'Esther qui relate le drame de Pourim, ce n'est ni une force extérieure, ni la Providence (qui y est cachée) qui sauve la situation, mais les Juifs eux-mêmes dans la personne de la vaillante Esther, du sage Mordekhay et de toute la communauté qui se lève pour se défendre et neutraliser l'ennemi.
Aujourd'hui à l'inverse, ce sont souvent les Juifs eux-mêmes qui rendent respectables des événements débiles, comme la grande messe de l'"apartheid d'Israël".
Il faut préciser ici qu'on ne conteste pas le droit de critiquer le gouvernement israélien ou sa politique. On peut en effet raconter plein de blagues de Pourim sur l'état d'Israël dont les dirigeants n'ont pas toujours brillé par les bons et loyaux services rendus. Et la lourde bureaucratie officielle, butée et arrogante, n'a rien à envier au service "véhicules"
de tout état américain. Et les blagues de Pourim dont nous parlons ne concernent pas l'éthique du premier ministre Ehoud Olmert qui laisse à désirer ou l'incompétence de tel ou tel chef militaire ou responsable politique.

Nous voulons parler de la campagne de déligitimation de plus en plus "au vitriol", relative au droit du peuple Israélien d'élire ses dirigeants, qu'ils soient sages ou cinglés, son droit à se défendre contre la terreur et la menace d'annihilation, venant aussi bien des Palestiniens que des mollahs Iraniens. Et les Juifs qui participent à cette campagne, qu'ils soient des intellectuels Américains irresponsables ou des extrémistes Israéliens ayant mauvaise conscience de mener une longue guerre contre des terroristes, doivent comprendre que miner Israël n'est pas un simple jeu qu'on peut aborder allègrement, sans le payer d'un sang juif innocent.
Pour tous les autres, y compris ceux qui pensent que parler d'Israël n'étant pas politiquement correct, on ne s'y engage pas, nous devons nous rappeler que les mensonges de la blague de l'"apartheid" doivent être combattus avec la même force que celle des anti-sionistes, et pas seulement avec de bonnes intentions.

Dans un inversement des réalités dignes de la fête de Pourim, il est devenu "branché"
aujourd'hui chez les antisémites et chez ceux qui ont la haine viscérale d'Israël de dire qu'on les fait taire, alors qu'on n'entend plus qu'eux dans la cité (2).

Nous devons protéger la libre expression d'opinion pour tous. Parallèlement, ceux qui soutiennent le droit de tout peuple à l'auto-détermination et à l'auto-défense, sauf pour le peuple Juif, sont des racistes et méritent qu'on les montre du doigt comme tels.
La leçon de Pourim est que tout un chacun, quelle que soit la sécurité dans laquelle il vit, ne peut reposer tranquillement alors que la haine de l'autre traîne dans la rue. C'est pourquoi toute personne décente, juive ou non, doit réagir aux mensonges inventés tous les jours par les anti-sionistes.
Comme pour Haman, (organisateur du complot de Pourim, qui a été pendu haut et court), nous ne pouvons pas laisser aller ces propagateurs de mensonges menant au meurtre.

Notes de la traduction

Les parenthèses du texte sont du traducteur
(1) Nous pouvons témoigner qu'aussi bien le gouvernement Israélien que les Institutions privées Israéliennes font tout ce qui est dans leur pouvoir pour séduire les arabes Israéliens, les choyant notamment dans les universités et les hôpitaux. Ils subissent plus que les autres les contrôles de sécurité, du fait que, sous l'effet d'une propagande insidieuse, une partie non négligeable de la population a pris le parti des extrémistes Palestiniens et se conduisent en ennemi du peuple.
(2) Voilà un texte du New York Times repris par le "Courrier International" du 8/3/07, émanation du Monde: “Tout le monde est réduit au silence – les Juifs, parce qu’ils ont l’obligation de soutenir Israël, et les non-Juifs, parce qu’ils ont peur de passer pour des antisémites. Résultat, personne n’aborde le sujet” – texte qui est un travestissement notoire de la réalité du terrain.


Traduit par Albert Soued,
www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Titre original: "the Palestine Purimspiel" ou les blagues de Pourim sur la Palestine
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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 06:03
Claire Dana-Picard | Arouts 7

Une commission spéciale nommée par l’Unesco, (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture) doit publier mercredi son rapport sur les travaux effectués par Israël à la porte des Maghrébins, dans la Vieille Ville de Jérusalem. Contre toute attente, elle admet qu’aucun dommage n’a été causé sur les lieux risquant d’ébranler les fondations du Mont du Temple comme l’affirmaient les Arabes opposés au projet.

Lire sur : http://a7fr.net/

En outre, les experts de l’Unesco louent l’attitude d’Israël pour la transparence avec laquelle les travaux ont été entrepris et confirment qu’ils sont conformes aux normes internationales et soumis à un contrôle sérieux. Toutes ces précisions ‘’encourageantes’’ ont été apportées par le site Ynet, du quotidien Yediot Aharonot, qui a pu se procurer un certain nombre d’extraits du dossier.

Mais cela ne signifie pas pour autant que la commission approuve totalement l’initiative prise par Israël. Elle émet en effet de vives critiques à l’encontre des autorités qui n’ont pas jugé nécessaire de consulter d’autres instances. Elle fait allusion apparemment à une commission de l’Onu et à des responsables musulmans et parmi eux, bien entendu, les représentants du Waqf, organisme musulman chargé officiellement par l’Autorité palestinienne du contrôle du site.

Par conséquent, en dépit de son avis favorable au départ, le rapport exige l’arrêt des fouilles destinées à sauvegarder les vestiges archéologiques en prétendant qu’une commission internationale doit être réunie pour les superviser. Le ministère israélien des Affaires étrangères compte intervenir auprès de l’Onu pour tenter d’obtenir des changements à ce sujet.

Les travaux entrepris à la porte des Maghrébins ont suscité dès le départ un tollé général au sein de la population arabe d’Israël, échauffée par le cheikh Raed Salah, chef de la section Nord du mouvement islamique. Ce mouvement s’est propagé par la suite et des manifestations ont été organisées à l’étranger.

Cette opposition massive a incité l’Unesco à dépêcher une délégation sur place. Celle-ci est arrivée il y a deux semaines en Israël, conduite par Francesco Bandarin, directeur du Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO, venu avec trois experts. Les délégués ont pu se déplacer librement sur le site et rencontrer l’ingénieur de la ville ainsi que des représentants de l’office des antiquités, des employés de la municipalité et des hommes du Waqf.

Ynet a précisé que la Vieille Ville de Jérusalem et ses remparts sont inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l’Onu.

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14 mars 2007 3 14 /03 /mars /2007 06:45

- AFP Le Monde -

"Le chef du Shin Beth, le service de sécurité intérieure israélien, Youval Diskin a mis en garde contre une radicalisation croissante des Arabes d'Israël qui, selon lui, constitue "à long terme, un danger stratégique" pour Israël, rapporte mardi en "une" le quotidien Maariv.

"Les Arabes d'Israël s'identifient de plus en plus avec les organisations terroristes et l'Iran", ennemi juré de l'Etat hébreu, titre le journal, citant des propos tenus récemment à huis clos par le chef du Shin Beth au Premier ministre Ehud Olmert."

La mutation du nationalisme palestinien (et chiite libanais) en islamisme fait naître ce risque dans la population israélienne. Jusqu'ici, les arabes israéliens, même en revendiquant des droits qu'ils n'avaient pas, préféraient vivre en Israël que dans les territoires palestiniens ou un état palestinien. Cette opinion publique était largement majoritaire jusqu'à la fin des années 80 (Ram me dira si je me trompe).

Le regain de l'islamisme, qui, par ricochet et par stratégie délibérée (Arafat), a contaminé les mouvements palestiniens, change la donne. Le citoyen arabe israélien  qui se  considère musulman "avant tout", sera forcément  opposé "par nature" à l'état juif (ou à l'état laïc supposé pouvoir exister). Ceux qui, de façon naïve ou calculatrice, appelaient depuis des décennies à l'état binational censé résoudre tous les problèmes, se retrouvent devant une impasse. Ceux là même qui devaient en profiter sont les opposants actuels à cet "idéal" colporté le plus souvent par l'extrême gauche. L'état bi-national n'est tout simplement plus au programme (n'ayant jamais été à l'ordre du jour sauf au début des débats politiques sionistes dans le yichouv).

On voit très bien ces derniers mois l'hésitation des "pro-arabes" français (pour aller vite), de Chirac à la LCR : ils souhaitent refinancer le Hamas mais craignent l'islamisme radical qui échappe aux clichés tiers-mondistes et anti-capitalistes classiques. Car l'islamisme radical est encore plus "prédateur" que les capitalistes, n'évoque pas le "bonheur des peuples" mais seulement celui des "croyants", et idolatre tellement la mort des autres et la mort des siens que les lendemains qui chantent chanteront exclusivement des Requiem.

 La mission de Bush, ratée hélas, était de cliver le monde musulman. Ce sera l'objectif du prochain président US et de ses alliés, cliver le monde musulman au sens de Daniel Pipes. Tracer une frontière "étanche" entre musulmans démocrates-progressistes et radicaux. 

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