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  • : Am Israël Haï
  • : Israël, ce pays qui pousse l'individu à la recherche de lui-même. Un voyage de retour vers l'Histoire, vers sa propre Histoire.
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Pour ne pas oublier que ce qui se passe à Sderot a commencé par l'évacuation du Goush Katif.


Evacuation de Névé Dékalim en 2005
20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 22:25
par Spengler, Asia Times Online, le mardi 13 Mai 2008 
Par
Thème : Proche-Orient


Traduction : Objectif-info

 L'état d'Israël est cerné par la jalousie, plus qu'aucun autre état sur terre, et pour cause : des indices quantitatifs objectifs montrent qu'Israël est la nation la plus heureuse de la terre au soixantième anniversaire de sa fondation. Il est l'un des pays les plus riches, les plus libres et les mieux instruits ; et il bénéficie d'une espérance de vie plus élevée que l'Allemagne ou la Hollande. Mais le plus remarquable, c'est que les Israéliens semblent aimer la vie et détester la mort davantage que toute autre nation. Si l'histoire n'est pas le produit de conceptions rationnelles mais d'exigences du coeur humain, comme je l'ai soutenu la semaine dernière, le coeur léger des Israéliens face à la permanence du danger est une particularité digne d'attention.

  Est-ce une coïncidence si la plus ancienne des nations [1], la seule qui est persuadée d'avoir été appelée par l'histoire au service de Dieu, se compose d'individus qui semblent aimer la vie davantage les autres peuples ? Pour établir un indice de préférence pour la vie, j'ai mis en relation le taux de fécondité et le taux de suicidité de 35 pays industriels, c.-à-d., le pourcentage de ceux qui choisissent de créer une nouvelle vie et celui de ceux qui choisissent de détruire la leur. Israël se trouve seul, dans le quart supérieur gauche du graphique qui est la partie du diagramme caractérisée par l'amour de la vie [2]. Ceux qui croient en l'élection divine d'Israël peuvent y voir l'effet d'une grâce spéciale, qui se manifeste par son amour de la vie.

Dans un univers livré à la morbidité, l'état d'Israël enseigne toujours au monde l'amour de la vie, non pas dans le sens banal de la joie de vivre, mais plutôt comme une célébration solennelle de la vie. Dans un autre endroit, j'ai affirmé qu'il "est facile pour les juifs de parler de l'enchantement de la vie. Ils sont tout à fait certains qu'ils sont éternels, alors que les autres peuples tremblent devant la perspective d'une extinction imminente. Ce n'est pas leurs vies individuelles que les Juifs trouvent si plaisantes, mais plutôt la notion d'un engagement formel du coté de la vie qui se poursuit sans interruption à travers les générations." Il est aussi remarquable d'observer la marge importante avec laquelle les Israéliens remportent la compétition mondiale pour le bonheur.

Les nations s'éteignent, j'en ai parlé dans le passé, parce que les individus qui composent ces nations choisissent collectivement de s'éteindre. Dès que la liberté remplace les habitudes immuables de la société traditionnelle, les gens qui n'aiment pas leur vie ne font aucun effort pour avoir des enfants. Ce n'est pas l'épée des conquérants, mais le levain indigeste de la vie quotidienne qui menace la survie des nations, qui s'éteignent aujourd'hui à un rythme sans précédent dans l'histoire documentée.

Israël est entouré de voisins qui veulent se donner la mort pour le détruire. "Nous aimons la mort autant que vous aimez la vie," enseignent les théologiens musulmans ; on trouve la même formule dans un manuel palestinien d'enseignement du second degré. Indépendamment du fait que les Arabes sont parmi les peuples les moins libres, les moins instruits, et (sauf les États pétroliers) les plus pauvres au monde, ce sont également les plus malheureux, même dans leurs royaumes les plus riches.

Le contraste entre le bonheur des Israéliens et le découragement des Arabes fait de la paix un but difficile à atteindre dans la région. On ne peut pas l'imputer aux conditions de vie matérielle. L'Arabie Saoudite, riche état pétrolier, se place au 171ème rang sur l'échelle des indices internationaux de la qualité de la vie, au-dessous du Rwanda. Israël est proche de Singapour sur cette échelle, bien qu'il faille observer qu'Israël est premier haut la main pour mon indice de préférence pour la vie alors que Singapour se trouve tout en bas.

Nous sommes d'autant moins autorisés à imputer ce découragement à un destin adverse qu'aucune nation n'a souffert davantage que les Juifs dans la mémoire contemporaine, qu'aucune ne peut invoquer une meilleure excuse d'être malheureuse. Les Arabes n'ont pas inventé les attentats-suicides, mais ils ont produit un réservoir de population désireuse de mourir dans le but d'infliger à d'autres des dommages sans équivalents dans l'histoire. On ne peut pas les aider mais il est logique de conclure que les théologiens musulmans ne forcent pas la note quand ils expriment leur mépris pour la vie.

D'ailleurs, l'amour de la vie d'Israël est davantage qu'une caractéristique ethnique. Ceux qui ne connaissent la vie juive qu'à travers les lunettes excentriques des romanciers Juifs américains comme Saul Bellow ou Philip Roth, ou encore les films de Woody Allen, croient que les Juifs sont une race de névrosés, tourmentés par une angoisse existentielle. Les juifs laïques d'Amérique sont plus féconds que leurs pairs Gentils, et selon toutes les informations ils sont exactement aussi malheureux.

En premier lieu, les Israéliens sont bien plus religieux que les Juifs américains. Les deux tiers des Israéliens croient en Dieu, bien qu'un quart d'entre eux seulement observent leur religion strictement. Même les Israéliens opposés à la religion font preuve d'une forme de laïcité différente de ce que nous trouvons dans l'Occident séculier. Ils parlent la langue de la Bible et subissent 12 ans d'études bibliques dans les écoles publiques élémentaires et secondaires.

Leur foi dans un amour assidu de Dieu pour un peuple qui croit qu'il a été appelé dans ce but à quitter sa condition d'esclave doit faire partie de l'explication. Les Israéliens les plus religieux font la plupart des bébés. Les familles ultra-orthodoxes ont en moyenne neuf enfants. Cela ne devrait pas surprendre puisque les gens de foi sont plus féconds que les laïques, comme je l'ai montré en procédant à une comparaison statistique entre pays.

Les profils de population des sociétés traditionnelles et modernes sont radicalement différents, parce que les femmes des sociétés traditionnelles n'ont pas d'autre choix que d'être enceintes toute leur vie. Dans le monde moderne, où la fécondité relève du choix plutôt que de la contrainte, la décision d'élever des enfants exprime l'amour de la vie. Le taux de naissance élevé des pays arabes, toujours dominés par la tradition, n'est pas comparable à la fécondité israélienne, de loin la plus haute du monde moderne.

La foi des Israéliens est unique. Les Juifs ont vogué vers Palestine en tant qu'acte de foi, et réussi à établir un État contre toute attente malgré un encerclement hostile, en plaisantant, "Il ne faut pas être fou pour être sioniste, mais ça aide." En 1903, Théodore Herzl, le fondateur laïc du mouvement sioniste, obtint le soutien des Anglais pour un État juif en Ouganda, mais son mouvement le conspua, car il n'attendait rien moins que la prophétie biblique du retour à Sion. Au lieu d'utiliser une langue moderne les immigrants juifs ont redonné vie à l'Hébreu, une langue uniquement liturgique depuis le 4ème siècle avant Jésus Christ, dans une prouesse de volonté sans précédent en matière linguistique. Il se peut que la foi brûle plus lumineusement en Israël parce que Israël a été fondé dans un élan de foi.

Deux vieilles plaisanteries juives illustrent la trame de l'esprit israélien.

Deux vieilles dames juives s'assoient sur un banc dans un parc à Saint-Pétersbourg, en Floride. "Mme Levy," demande la première, "quelles sont les nouvelles de votre fils Isaac à Detroit?" "Elles sont terribles," répond Mme Levy. "Son épouse est morte il y a un an et l'a laissé avec deux petites filles. Voila qu'il a perdu son travail de comptable dans une entreprise de location de voitures, et que son contrat d'assurance médicale va expirer dans quelques semaines. Dans l'état où se trouve le marché de l'immobilier, il ne peut même pas vendre sa maison. Et le bébé qui est atteint d'une leucémie a besoin d'un traitement onéreux. Il est décontenancé et ne sait pas quoi faire. Mais comme il a écrit une belle lettre en Hébreu, c'est un régal de le lire."

Il y a plusieurs niveaux dans cette blague, mais l'essentiel est que de mauvaises nouvelles sont adoucies quand elles sont données dans la langue de la Bible, qui véhicule toujours l'espoir pour les Juifs.

La seconde plaisanterie met en scène un homme d'affaires américain qui a émigré en Israël peu de temps après sa fondation. A son arrivée, il commande un téléphone, et attend des semaines sans réponse. A la fin, il se rend en personne à la compagnie téléphonique, et il est reçu dans le bureau d'un responsable qui lui explique qu'il y a une liste d'attente de deux ans, et aucune possibilité de passer devant. "Vous voulez dire qu'il n'y a aucun espoir ?" demande l'Américain. "Il est interdit à un Juif de dire qu'il n'y a aucun espoir !" tonne le responsable. "Aucune chance, plutôt." L'espoir est supérieur à la probabilité.

Si la foi rend les Israéliens heureux, alors pourquoi les Arabes, dont l'observance de l'Islam semble tellement plus stricte, sont-ils si malheureux ? L'Islam offre à ses adeptes, non pas l'amour, parce qu'Allah ne Se révèle pas dans l'amour sur le modèle de YHWH, mais plutôt le succès. "Le monde islamique ne peut pas assumer l'existence sans être sur de gagner, de sorte que 'être en prière' équivaut à 'remporter un succès'. L'humiliation est quelque chose qu'il ne peut pas supporter, ce qui conduit à l'idée que la Oumma ne doit pas récompenser ceux qui se soumettent. " J'en en parlé ailleurs. L'Islam, ou "la soumission", ne comprend pas la foi, la confiance en un Dieu aimant même si ses actions semblent incompréhensibles, de la même façon que les Juifs et les Chrétiens. Puisque la fantaisie d'Allah commande tous les évènements, de l'orbite de chaque électron aux résultats des batailles, les Musulmans ne connaissent que le succès ou l'échec en toutes circonstances, au cours du temps.

Les échecs militaires, économiques et culturels des sociétés islamiques sont insupportables aux yeux des Musulmans ; les succès des juifs sont une abomination, parce que pour les musulmans le succès est dû exclusivement au fidèle. Les succès juifs sont convoités et ils peuvent être confisqués aux usurpateurs à la première occasion. Il n'est pas tiré par les cheveux d'affirmer que l'amour d'Israël pour la vie, la joie que lui procure la foi, sont justement des particularités qui rendent la paix impossible à réaliser dans la région. L'usurpation du bonheur, que les Musulmans considèrent comme un dû qui leur est réservé, est un motif suffisant pour qu'ils se donnent la mort dans le but de priver l'ennemi juif de ce bonheur. Si les adversaires d'Israël ne parviennent pas à ruiner le bonheur d'Israël, il y a peut-être une lueur d'espoir pour qu'ils décident de choisir le bonheur de leur coté.

Pourquoi est-ce qu'aucune nation chrétienne n'est aussi heureuse qu'Israël ? Rares sont les nations européennes qui peuvent être qualifiées de "chrétiennes". La Pologne, le dernier pays européen où le taux de présence à la messe est élevé (environ 45%), enregistre néanmoins un taux de fécondité de seulement de 1,27, l'un des plus bas d'Europe et un taux de suicidité de 16 pour 100.000. En Europe, la foi a toujours hésité entre l'adhésion au Christianisme comme religion universelle et l'idolâtrie ethnique sous un vernis chrétien. Le nationalisme européen a repoussé le christianisme en marge de la société au 19ème siècle, et les guerres mondiales désastreuses du siècle passé ont retiré aux Européens toute confiance, aussi bien dans la Chrétienté que dans leur identité nationale.

C'est seulement au sein de la population américaine que l'on trouve des taux de natalité comparables à ceux d'Israël, par exemple parmi les Chrétiens évangéliques. Il n'y a pas de méthode directe pour comparer le bonheur des Chrétiens américains et des Israéliens, mais le caractère tumultueux et protéiforme de la religion américaine n'est pas propice à la satisfaction personnelle. Je crains fort que le bonheur d'Israël soit parfaitement unique.

Il est à la mode de nos jours de spéculer sur la fin d'Israël et sur sa position stratégique qui n'offrirait que des motifs d'optimisme limités, ce que j'ai contesté récemment. L'avenir d'Israël dépend des Israéliens. Tout au long d'un exil de 2.000 ans, les Juifs sont restés des Juifs en dépit d'efforts puissants et souvent violents d'en faire des Chrétiens ou des Musulmans. Il faut supposer qu'ils n'ont pas abandonné le judaïsme parce qu'ils aimaient être juifs. Avec la plus grande sincérité, les Juifs disaient trois fois par jour dans leurs prières, "Il est de notre devoir de féliciter le Maître de tout, d'acclamer la grandeur de Celui qui a donné forme à toute la création, parce que Dieu ne nous a pas faits comme les nations des autres pays, et ne nous a pas faits comme les autres familles de la terre. Dieu ne nous a pas placés dans la même situation que les autres, et notre destin n'est pas identique à celui des autres hommes."

Si les Israéliens forment le pays le plus heureux de la terre, comme les chiffres l'attestent, il semble possible qu'ils fassent ce qu'il faut pour le conserver, en dépit de l'adversité qu'ils rencontrent. Je ne sais pas s'ils réussiront. Si Israël échoue, cependant, le reste du monde perdra une référence unique de l'aptitude humaine au bonheur et à la foi. Je ne peux pas imaginer un événement plus triste.

Notes

[1] Il y a beaucoup de nations d'origine antique, par exemple, les Basques, mais aucune ne parle la même langue qu'il y a de 3.000 ans, aucune n'occupe plus ou moins le même territoire, et, c'est le plus important, aucune n'a conservé les archives écrites de son histoire dans sa continuité, ce qui signifie une conscience nationale ininterrompue.

[2] Les pays représentés dans le diagramme sont :

  


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T E M P S D E L A F I N<br /> <br /> Voici, j’en veux aux pasteurs, et je réclamerai mes brebis de leur main ; je les ferai cesser de paître le troupeau, et les pasteurs ne se paîtront plus eux–mêmes ; et je délivrerai mes brebis de leur bouche, et ils ne les dévoreront plus. Et je les ferai sortir d’entre les peuples, et je les rassemblerai des pays, et les amènerai dans leur terre ; et je les paîtrai sur les montagnes d’Israël, auprès des ruisseaux et dans toutes les habitations du pays. (Ezékiel chap. 34, versets 10, 13)<br /> <br /> Et je vis une autre bête montant de la terre ; et elle avait deux cornes * semblables à un agneau ; et elle parlait comme un dragon. (Apocalypse 13 v. 11 ) Et tous ceux qui habitent sur la terre, dont le nom n’a pas été écrit, dès la fondation du monde, dans le livre de vie de l’Agneau immolé, lui rendront hommage. Révélation = Apocalypse, ch. 13, v. 8) * puissances<br /> <br /> Je regardai cette corne faire la guerre aux saints et l’emporter sur eux, jusqu’à ce que vienne l’Ancien des jours pour rendre<br /> justice aux saints du Très–Haut ; et le temps arriva où les saints furent en possession du royaume.<br /> Il prononcera des paroles contre le Très–Haut, il opprimera les saints du Très–Haut, il espérera changer les temps et la loi, et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps et la moitié d’un temps.<br /> Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et perdue pour jamais.<br /> Le royaume, la domination et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous le ciel seront donnés au peuple des saints du<br /> Très–Haut. Son royaume est un royaume éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront.<br /> (Daniel ch. 7, v. 21, 22, 25, 26, 27)<br /> <br /> Et, au temps de la fin, le roi du midi (islam ?) heurtera contre lui, et le roi du nord fondra sur lui comme une tempête, avec des<br /> chars et des cavaliers, et avec beaucoup de navires, et entrera dans les pays et inondera et passera outre ; Il dressera les tentes<br /> de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide.<br /> (Daniel 11, v. 40, 45)<br /> <br /> Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Voici, j’en veux à toi, Gog, Prince de Rosch, (Russes) de Méschec (Moscou) et de Tubal (Tobolsk) ! Je t’entraînerai, je te conduirai, Je te ferai monter des extrémités du Nord, Et je t’amènerai sur les montagnes d’Israël. Tu tomberas sur les montagnes d’Israël, Toi et toutes tes troupes, Et les peuples qui seront avec toi ; Tu tomberas sur la face de la terre, Car j’ai parlé, dit le Seigneur, l’Eternel. Je ferai connaître mon saint nom au milieu de mon peuple d’Israël, Et je ne laisserai plus profaner mon saint nom ; Et les nations sauront que je suis l’Eternel, Le Saint en Israël. Voici, ces choses viennent, elles arrivent, Dit le Seigneur, l’Eternel ; C’est le jour dont j’ai parlé. (Ezékiel 39, v 1, 2, 4, 5, 7, 8)<br /> <br /> Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Oui, dans le feu de ma jalousie, Je parle contre les autres nations et<br /> contre Edom * tout entier, qui se sont donné mon pays en propriété, Avec toute la joie de leur cœur et le<br /> mépris de leur âme, afin de le piller. (Ezéchiel 36, v. 5) * Edom = Occident<br /> <br /> Et il arrivera, en ce jour–là, que je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples, tous ceux qui la soulèveront<br /> s’y meurtriront certainement ; et toutes les nations de la terre seront rassemblées contre elle. (Zacharie 12 v. 3)<br /> <br /> Ainsi parle l’Éternel des armées : Je suis jaloux pour Sion d’une grande jalousie, je suis saisi pour elle d’une grande et brûlante ardeur. Ainsi parle l’Éternel : Je retourne à Sion et je demeurerai au milieu de Jérusalem. Jérusalem sera appelée ville de la vérité, et la montagne de l’Éternel des armées, montagne de la sainteté. (Zacharie 8, v 2, 3)<br /> Et l’Eternel possédera Juda comme sa part sur la terre sainte, et il choisira encore Jérusalem. Que toute chair fasse silence devant l’Eternel, car il s’est réveillé de sa demeure sainte. (Zacharie 2, v. 12, 13)<br /> <br /> Ho ! Echappe–toi, Sion, toi qui habites chez la fille de Babylone ! (Zacharie 2, v. 7)<br /> <br /> Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, De peur que vous ne périssiez dans sa ruine ! Car c’est un temps de vengeance pour l’Eternel ; Il va lui rendre selon ses œuvres. (Jérémie 51 v. 6)<br /> <br /> Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. (Révélation, ch. 14 v .8 et ch. 18, v. 4)<br /> <br /> Ainsi parle l’Éternel des armées : En ces jours–là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif, ils le saisiront par le pan de son vêtement et diront : Nous irons avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. (Zacharie 8, v. 23)<br /> <br /> Il arrivera, à la fin des temps, Que la montagne de la Maison de l’Éternel Sera fondée sur le sommet des montagnes.<br /> Des peuples nombreux s’y rendront et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, A la Maison<br /> du Dieu de Jacob, Afin qu’il nous instruise de ses voies, Et que nous marchions dans ses sentiers. Car de<br /> Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l’Éternel. (Esaïe 2, v. 2, 3)<br /> <br /> Et je vis, et voici l’Agneau se tenant sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante–quatre mille personnes, ayant son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. (Révélation 14 v. 1)<br /> <br /> Voici : je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre ! (Révélation 22, v.7)<br /> <br /> 12tr@orange.fr
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