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Pour ne pas oublier que ce qui se passe à Sderot a commencé par l'évacuation du Goush Katif.


Evacuation de Névé Dékalim en 2005
7 décembre 2006 4 07 /12 /décembre /2006 06:15

 

La ministre israélienne des Affaires étrangères, Tsipi Livni, s’est rendue à Paris où elle a notamment rencontré le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy. Elle devrait également s’entretenir avec Jacques Chirac et son homologue français, Philippe Douste-Blazy. D’après le Figaro, la ministre israélienne est venue apaiser les tensions entre les deux pays depuis l’affaire des survols de la Finul par l’aviation israélienne au Sud Liban. Tsipi Livni explique d’ailleurs à ce sujet : « Ces survols sont nécessaires pour obtenir des renseignements sur le Hezbollah. Nos avions volent pour prendre des photos, pas pour tirer, ils ne sont armés que de caméras. »
Tsipi Livni a également précisé que « cela fait presque un an que le Hamas est au pouvoir et nous commençons à voir les signes d’un changement, dont une partie est due à la pression de la communauté internationale ». Elle souhaite que Jacques Chirac n’abandonne pas la feuille de route et les trois critères nécessaires à la reprise d’un dialogue et du processus de paix avec les Palestiniens, qui sont la reconnaissance de l’Etat d’Israël, les accords précédemment passés avec les Palestiniens et l’arrêt des violences.
Insistant sur le danger du nucléaire iranien, elle déclare : « Ce problème concerne le monde entier et notamment le pays de la région dans lesquels n’existe pas de majorité chiite. »
Enfin, Tsipi Livni revient sur les violations de la résolution 1701 évoquant le fait que les otages israéliens ne soient toujours pas libérés et que la frontière syro-libanaise soit toujours ouverte aux armes du Hezbollah, rapporte le quotidien. « C’est de la responsabilité du gouvernement libanais mais les forces internationales ont un rôle important à jouer en la matière », précise le chef de la diplomatie israélienne.
Le Figaro évoque également les craintes des Israéliens d’une chute du gouvernement libanais et du renforcement des partis chiites qui pourraient entraîner une nouvelle confrontation militaire avec le Hezbollah, et peut-être même avec la Syrie.
 
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