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Rah'em

Pour ne pas oublier que ce qui se passe à Sderot a commencé par l'évacuation du Goush Katif.


Evacuation de Névé Dékalim en 2005
8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 06:30
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Depuis plusieurs mois, le parti chiite pro-iranien est soupçonné, en particulier par Israël, de recevoir des armes via la Syrie.  
(AP/H. Malla)
En complément

Un rapport de Kofi Annan fait état de «mouvements d'armes à la frontière syro-libanaise». Selon un haut responsable, le Liban préfère dissimuler ces faits, par crainte d’attiser le conflit.
Les «parrains» du Hezbollah sont de nouveau dans le collimateur des Nations unies. Le Quai d’Orsay a confirmé jeudi qu’un rapport du Secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan, faisait «état d'informations sur des mouvements d'armes à la frontière syro-libanaise». Le ministère des Affaires étrangères a assuré «suivre cette question de la surveillance de l'embargo sur les armes avec beaucoup d'attention» et réfléchir aux moyens d'en améliorer le contrôle. 
 
Depuis plusieurs mois, le parti chiite pro-iranien est soupçonné, en particulier par Israël, de recevoir des armes via la Syrie. Des mouvements qui violent la résolution 1701 adoptée en août par le Conseil de sécurité pour mettre un terme au conflit entre le Hezbollah et l'Etat hébreu.

 
Un haut responsable «proche du dossier», cité jeudi par Le Monde, va même plus loin en évoquant un «réarmement constant et massif du Hezbollah». Selon lui, ces armes seraient «iraniennes pour l'essentiel» et entreraient au pays du Cèdre, grâce «à la complicité de sympathisants du Hezbollah au sein de la sûreté générale libanaise». Toujours d’après cette source, le premier ministre libanais, Fouad Siniora, refuserait de divulguer ces informations «alarmantes», «par crainte d’attiser le conflit».
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