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  • : Israël, ce pays qui pousse l'individu à la recherche de lui-même. Un voyage de retour vers l'Histoire, vers sa propre Histoire.
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Pour ne pas oublier que ce qui se passe à Sderot a commencé par l'évacuation du Goush Katif.


Evacuation de Névé Dékalim en 2005
28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 06:09

L'éditorial d'Olivier Rafowicz
Olivier Rafowicz revient sur la situation inquiétante qui règne dans la bande de Gaza, au lendemain d'une tentative d'attentat déjouée et à la lumière des tirs incessants de roquettes Kassam sur la région de Sdérot. Selon Olivier Rafowicz, Israël doit agir dans la bande de Gaza, durement et rapidement.


cliquer sur l'image pour voir la vidéo

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28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 06:07
Shraga Blum - Arouts Sheva

Le problème croissant des réfractaires ainsi que les propos du Rav Ovadia Yossef, exigent par effet inverse, que l’on se penche un peu plus sur tous ces valeureux soldats sionistes-religieux, du plus simple à l’officier supérieur, qui font honneur à Tsahal, et qui arrivent à allier pratique des mitsvot, service militaire combattant et solidarité avec l’Etat d’Israël.


De manière régulière, au courant de l’année, se réunissent les officiers supérieurs de Tsahal, dans l’unes des bases militaires du pays. Ils sont des centaines, dont le moins gradé…est colonel ! La constatation est nette : à chaque fois, le nombre de kippot crochetées est en augmentation. Le journaliste Ben Caspit, de Maariv, que l’on ne peut soupçonner d’amour hypertrophié pour les religieux, conclut que « les soldats sionistes-religieux sont en train de devenir la colonne vertébrale de Tsahal ». En effet, si, il y a une ou deux décennies, il fallait bien chercher pour trouver un officier supérieur portant kippa, une lente révolution s’est mise en marche, et on compte maintenant nombre de généraux qui arborent ce « signe distinctif ». Le premier fut Yaakov Amidror, puis vinrent ensuite Yaïr Naveh, Eleazar Stern, Yaïr Bär, Gershon Hacohen et d’autres. Cette innovation ne s’est toutefois pas faite de manière lisse, à en juger le refus de Shaoul Mofaz d’élever Effi Eitam au grade de général, en raison de ses opinions politiques. Un phénomène identique est perceptible, quoique dans une proportion moindre, dans les services de renseignements, le fameux Shabak.


Lorsque l’on sait que les généraux de l’Etat major deviennent ensuite généraux de réserve, et forment le vivier des fonctions clés dans le monde politique, économique et social, on peut imaginer quel pourrait être l’aspect de la société de demain.


Le dernier recrutement dans la fameuse base « Bahad 1 » ne laisse pas la place au doute : 40% des nouvelles recrues portaient la kippa ! Et lorsque l’on se penche sur les unités combattantes, la proportion des officiers atteint 50% !!


Tout ce ceci est le fruit d’une longue évolution et surtout d’un travail éducatif de longue haleine qui s’est fait depuis la Guerre de kippour, dans le but de créer une nouvelle génération de dirigeants militaires et politiques, qui remplacera à terme la génération des bâtisseurs de l’Etat. Dans les familles d’abord, mais surtout dans les écoles national-religieuses, les camps de vacances, les instituts de préparation militaires ou les Yeshivot Hesder, tout a été fait pour inculquer aux enfants les valeurs du sionisme-religieux, dont le service militaire dans les unités combattantes, le sacrifice de soi, l’amour du peuple, de la Thora et d’Erets Israël font partie.


Malheureusement, il y a toujours des personnes ou des milieux qui, pour des raisons philosophiques, psychologiques ou politiques, voient dans cette évolution une « menace », allant même jusqu’à dire, que « Tsahal a cessé d’être l’armée du peuple ». Ces mêmes personnes qui étaient d’ailleurs fières jadis, quand ce furent les jeunes des kibboutzim et du part travailliste, qui formaient l’élite de l’armée. On ne peut d’ailleurs pas ne pas voir dans le soutien à la Hitnatkout, au-delà de l’aspect politique, une volonté inconsciente d’une partie de la population, de briser cette motivation auprès de la jeunesse religieuse.


Les craintes de ces secteurs de population sont infondées. Tout d’abord, parce que porter une kippa ne veut pas forcément dire appartenir à la même famille politique. Les mesures prises par Yaïr Naveh contre des militants de Judée-Samarie, ou la croisade d’Eleazar Stern contre les Yeshivot Hesder en sont pour preuve. Ensuite, la conception sioniste-religieuse de la société est de nature rassembleuse, et non exclusiviste, comme le sont les idéologies de gauche qui ont dominé le pays jusqu’à aujourd’hui. Ces dernières ont fait leur temps, et leurs représentants actuels ne voient plus dans l’armée ni dans l’Etat des valeurs positives. Pour eux, l’armée est « un obstacle à l’avancement personnel, à la libre-pensée, et à toutes les objectifs de l’Homme du 21e siècle ». Pour beaucoup de ces jeunes, servir le pays, sacrifier de son temps, risquer sa vie, changer la société, appartenir à un destin commun, ne sont plus des valeurs mais des notions dépassées et même contre-productives. Il suffit de voir où se trouvent et que font les enfants des dirigeants politique actuels, jusqu’au plus haut d’entre eux !


Bien sûr, il s’agit là de tendances, car il existe encore des idéalistes dans la monde laïc, comme il y des réfractaires dans le monde religieux, mais l’arrivée en force d’une direction sioniste-religieuse au sein de l’armée, puis plus tard, aux fonctions dirigeantes du pays, est une donnée incontestable, et elle est le seul moyen de tourner bientôt le dos à l’atmosphère post-sioniste, défaitiste, individualiste et hédoniste, qui caractérise les élites actuelles.
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28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 06:06
 
Un discours du rabbin Ovadia Yossef suscite un tollé au sein de l'extrême gauche. Le mentor de Shass a affirmé samedi dans son allocution hebdomadaire que ''les soldats de Tsahal tombent au combat parce qu'ils ne respectent ni le shabbat, ni la Torah, ne prient pas chaque jour et ne mettent pas les phylactères (Tfilin)''.  (Guysen.International.News)
Le chef du parti Meretz, Yossi Beilin, a affirmé qu'''au lieu de dire des bêtises, le rav Ovadia Yossef ferait mieux d'appeler les étudiants en yeshiva à effectuer leur service militaire''.
Ce discours devrait suscité également un tollé  chez les religieux (graves mises en causes d'autrui pendant ce mois d'Elul) ; et  pas seulement à l'extreme gauche.
 
Quant à LUI ,qui n'empêche pas le renvoi des religieux (qui font leurs prières respectent le shabat et mettent les téfilin) de chez eux le " Goush Kattif" en faisant voter à l'unisson "l'évacuation" de  Gaza  par son parti shass que devrait-il lui arrivé...... ? pour une rare fois je serais d'accord avec Bellin il faut qu'il arrête de dire des conneries séniles; surtout quand on apprend qu'environ que 50% des officiers et sous officiers de Tsahal sont issus des mouvements sionistes  religieux et portent la Kippa crochetée.....
 
Marc A.
_______________________________________________________________
Lu et approuvé, mon cher Marc!
 
Cela dit Ovadia Yossef a de plus en plus de mal à choquer et ne redit-là que les poncifs minimaux qu'on était en droit d'attendre de lui. Après tout, il faut bien une "explication" aux 160 morts (civils et militaires) de la dernière guerre du Liban et la raison en est simple : ils ne portaient pas les Tefilin permettant au Hezbollah de les reconnaître plus facilement au moment d'ajuster leurs tirs imprécis.
 
Ovadia Yossef a l'art de justifier a posteriori les ennemis les plus féroces du Peuple Juif : Nazis, Hezbollah,... n'existent que, parce que quelque part, ils ont plus la Foi que nous dans leurs propres valeurs. Ce pour quoi, hallakhiquement il n'a pas cent pour cent tort, puisqu'un combat ne peut être gagné et justifié que parce que nous serions porteurs de valeurs supérieures et non négociables nous donnant le droit d'être impitoyables à leur égard.
 
Sur ces quelques vérités de base taillées à la hâche, son discours reste inchangé depuis des décénnies, surtout dépourvu de toute compassion et de toute humanité, purement sentencieux, et peut importe l'identité et l'entourage de la victime particulière :
 
les Ashkénazes exterminés pendant la Shoah portent les fautes de leurs parents laïcisés sur leurs épaules (il faut bien que quelqu'un paie, non? 6 millions ça en fait des tonnes de fautes, mais bon, c'est un prix de gros et il se peut qu'Il leur ait été fait crédit pour les générations futures), les soldats morts au combat paient l'addition de toutes les tâches de la rue Shenkin, avant passage en lavomatic. De très loin, je préfère la présence dans cette rue des adeptes de Rabbi Nachman de Bratslev.
 
Les hommes sont blackboulés dans un destin qui les dépasse totalitairement et sur lequel ils n'ont aucune prise.
 
Hallakha sans examen éthique des situations particulières ni compassion ou obligation à l'égard de l'autre n'est que ruine de l'âme juive? (Rav Rabelais).
 
Marc B
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27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 06:08
Akiva Eldar | Ha’Aretz -Version Française Courrier international

A l’initiative du président Bush, un sommet régional est prévu cet automne pour proposer un règlement du conflit israélo-palestinien et israélo-arabe. Le journaliste de Ha’Aretz, Akiva Eldar, révèle les grandes lignes du plan de paix qu’Israël soumettra à ce sommet.

Dans le cadre de l’accord de principes qui est en train d’être rédigé avant le prochain sommet régional, Israël va proposer qu’une route sécurisée à l’usage des Palestiniens entre la Cisjordanie et la bande de Gaza fasse partie d’un échange de territoires avec les Palestiniens. Mais si les Palestiniens vont disposer du contrôle de la route, Israël en conservera la souveraineté. Toutefois, cette route ne sera utilisée que lorsque l’Autorité palestinienne sous sa direction actuelle reprendrai le contrôle de la bande de Gaza [tenu aujourd’hui par le Hamas].

Israël pense que cela aidera le président Mahmoud Abbas et le Premier ministre Salam Fayyad à gagner le soutien de l’opinion publique à Gaza, qui vérifierait alors que le gouvernement du Hamas constitue un obstacle à la réouverture d’une voie de communication avec la Cisjordanie. [Les derniers sondages montrent une réelle baisse de la popularité du Hamas auprès des Palestiniens.]

Un haut représentant israélien, qui participe aux discussions avec les Palestiniens, a dit que cet accord de principe ne réglerait pas les détails des territoires devant être transférés aux Palestiniens en échange des blocs de colonies [en Cisjordanie], mais qu’il refléterait un large consensus sur les questions les plus sensibles, en laissant en suspens quelques difficultés. Les détails seraient réglés au cours de négociations, après le sommet de l’automne. Les Israéliens estiment que, pour les Palestiniens, ce passage sécurisé vaut bien davantage que le territoire qu’il représente en termes de superficie et qu’il devrait donc constituer un élément majeur de l’accord territorial.

Des sources proches du président palestinien Mahmoud Abbas affirment qu’il n’est plus opposé à la création d’un Etat avec des frontières provisoires après la signature de l’accord de principe, à condition qu’il reçoive des assurances internationales qui promettent de fixer une deadline pour la fin des négociations sur les frontières définitives entre Israël et l’Etat palestinien.

Voici la liste des propositions en train d’être finalisées :

1. Les frontières

Le point de départ est la clôture de séparation [le mur], sans autre zone destinée à l’expansion des colonies. Cela laisserait 92 % de la Cisjordanie aux Palestiniens. Cela représenterait davantage que le territoire à l’est de la clôture, mais moins que ce qui est prévu par les accords de Genève [qui prévoyaient plus de 96 % du territoire de la Cisjordanie aux Palestiniens]. Par ailleurs, les représentants israéliens évoquent la nécessité de commencer à appliquer les principes de la loi dite d’"évacuation-compensation" aux colons israéliens de Cisjordanie. Deux projets de loi ont déjà été proposés sur cette question, l’un par les députés Colette Avital (travailliste) et Avshalom Vilan (Meretz), l’autre par Amir Peretz et Youli Tamir (travaillistes).

2. Jérusalem

Israël accepterait de transférer aux Palestiniens, à échéance proche, un certain nombre de quartiers et de camps de réfugiés. Plus tard, davantage, voire la plupart des quartiers arabes de la Ville sainte seraient transférés aux Palestiniens. Le principe sous-jacent ressemble à celui du plan Clinton : les zones juives pour les Juifs, les zones arabes pour les Arabes. Les lieux saints dans la vieille ville seraient administrés conjointement par des représentants des trois religions, chacun responsable de ses lieux saints.

3. Réfugiés

Israël reconnaîtrait la souffrance des réfugiés palestiniens et accepterait indirectement une part de responsabilité quant aux réfugiés de la guerre de 1948. Israël participerait également à un projet international de relogement des réfugiés en Palestine, dans des territoires transférés aux Palestiniens ou dans les pays où ils vivent actuellement.

Même si l’administration américaine n’a pas contribué à la préparation de l’ordre du jour du prochain sommet de paix, elle considère cet accord de principe comme la clé de son succès et encourage les parties à progresser avant sa tenue. Les Américains pensent que cet accord améliorerait grandement les chances que l’Arabie Saoudite participe à ce sommet et soutienne économiquement et politiquement Abbas et le Premier ministre palestinien Salam Fayyad.

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26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 05:30
Yaakov Lappin | Ynet news. Version Française Desinfos.com

Malgré ses nombreux appels à la destruction d’Israël et les dénis répétés de l’Holocauste, l’Iran a été choisi par les Nations unies pour une position dirigeante dans un comité qui préparera la Conférence Mondiale 2009 de l’ONU contre le Racisme. Le comité d’organisation, qui se réunira pour la première fois à Genève le 27 août, sera composé d’un cercle intérieur de 20 États membres de l’ONU et doit être dirigé par la Libye.


L’article en anglais sur : http://www.ynetnews.com/

La décision d’inclure l’Iran au sein du comité a été prise par les" watchdogs" de l’ONU. "En tant que porte-parole de l’ONU contre le racisme, l’Iran inversera totalement le message et la mission des Nations Unies," Anne Bayefsky, rédacteur en chef de Eye on the UN basé à New York, le dit dans un communiqué de presse.

"L’Iran est maintenant placée pour se draper du drapeau de l’ONU comme dirigeant de la prochaine conférence mondiale contre le racisme, Durban II," a-t-elle ajouté se référant à la conférence de l’ONU de 2001 "contre le racisme" tenu à Durban, en Afrique du Sud, qui a vu des niveaux sans précédent de rhétorique anti-Sioniste et a appelé à la destruction d’Israël.

En parlant à Ynetnews, Bayefsky a indiqué que "les tenants principaux de l’antisémitisme, soi dirigé contre les Juifs individuellement ou contre le peuple Juif plus généralement, continuent avoir une plate-forme mondiale à l’ONU. Ce n’est qu’un exemple d’un phénomène plus large."

"Eye on the UN" a constaté qu’en 2006 le système de l’ONU a dans l’ensemble adressé la plupart des condamnations pour des violations des droits de l’homme contre des états spécifiques - d’abord vers Israël et en quatrième vers les Etats-Unis. L’Iran était en bas sur la liste des pays concernés des droits de l’homme de l’ONU," a dit Bayefsky, ajoutant : "que le contribuable des USA continue à payer un quart de la facture pour les activités qui placent comme démoniaques les Américains et les Israéliens à une échelle mondiale."

Un porte-parole du bureau du Haut commissaire pour les Droits de l’homme de l’ONU a confirmé à Ynetnews que "l’Iran est un de 20 États qui sont les membres du bureau du Comité Préparatoire,", mais a ajouté que "l’Iran n’occupe pas de rôle principal."

Interrogé sur, comment un état qui nie ouvertement l’Holocauste pourrait se trouver dans un tel rôle, le porte-parole a dit : "le Comité Préparatoire est un corps intergouvernemental, ce qui signifie que les États ont été choisis librement pour siéger au Comité Préparatoire. Ce sont les États membres qui décident."

Lire en PDF et en Français, 2 résolutions de l’ONU sur le sujet :

-  Efforts déployés au niveau mondial pour éliminer totalement le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance qui y est associée et pour assurer la mise en oeuvre intégrale et le suivi de la Déclaration et du Programme d’action de Durban

-  Conseil des droits de l’homme. Résolution 3/2. Préparatifs de la Conférence d’examen de Durban

"L’ONU détourné de nouveau"

Bayefsky a expliqué que la structure du Conseil des Droits de l’homme de l’ONU a efficacement été reprise par les pays de l’Organisation de la Conférence Islamique (OIC), permettant à l’Iran et à la Libye l’accès aux rôles clefs.

"Les états ont été choisis par le Conseil des Droits de l’homme d’ONU et le Conseil est contrôlé par l’Organisation de la Conférence Islamique. La majorité des sièges au Conseil est tenue par les groupes régionaux Africains et asiatiques et l’OIC a une majorité de sièges dans chacun de ces groupes. Les états occidentaux n’ont pas les votes pour bloquer cette atrocité et c’est un autre exemple du détournement de ce qui est arrivé à l’agence principale des droits de l’homme de l’ONU," a-t-elle dit.

En réagissant aux déclarations du Bureau du Haut commissaire pour des Droits de l’homme, Hillel Neuer, le Directeur de l’organisation UN Watch basée à Genève, a dit que l’ONU avait échoué à expliquer comment l’Iran avait accédé au conseil d’organisation.

"Je pense qu’ils esquivent la question essentielle," a dit Neuer. "A la question, pourquoi l’Iran doit être membre, de répondre que l’Iran est un membre, n’est pas une réponse," a-t-il ajouté.

"Cette conférence se métamorphose en loup dans les habits du mouton. Le gouvernement des Nations unies et les diplomates ne pensent pas que c’est la voie empruntée par les gens normaux. Ils traitent chaque pays également et n’emploient pas de principes de bon sens. Cette attitude est contraire à la charte de l’ONU, qui dit que les membres qui agissent contrairement aux principes de la charte qui sont de soutenir la paix, doivent être expulsés," a expliqué Neuer.

"Selon beaucoup de diplomates, ce sera un fiasco dans la mise en place. Et il doit être noté qu’il y a des états Africains qui se soucient de questions légitimes concernant le racisme et cherchent à ce que cela soit traité. C’est une honte que les états Islamiques ont l’intention de subvertir cette conférence comme ils l’ont fait avec le Conseil de Droits de l’homme et de nombreux autres corps de l’ONU," a ajouté Neuer.

"Le Haut commissaire (Louise Arbour) doit parler vrai au pouvoir. Elle devrait exprimer ses inquiétudes sur le fait qu’une des principales entités des droits de l’homme de l’ONU est dirigée de nouveau par la Libye avec l’Iran dans une position de direction, quoi que l’ONU en dise. Cela sape les quelques derniers vestiges de crédibilité morale," a-t-il dit.

"Les options d’Israël sont limitées"

Interrogé sur quel serait son conseil pour Israël pour comment traiter avec la conférence, Neuer a dit : "il y a une quantité limitée d’options pour Israël. L’analogie est à l’Assemblée Générale de l’ONU, où les chiffres parlent d’eux mème et il n’y a pas beaucoup d’actions qu’Israël a pu faire pour empêcher certaines résolutions."

"Le point clef est de travailler avec les états Occidentaux comme le Canada et les Européens. Israël doit être vigilant, doit contrôler de près les événements diplomatiques et doit s’engager avec ses amis Occidentaux et s’assurer que les Européens tiennent ferme et refusent de pactiser avec les extrémistes," a ajouté Neuer.

Selon Bayefsky, "Israël doit pointer continuellement le rôle dangereux joué par l’ONU dans le torpillage du bien-être de l’état Juif et de son peuple. Le voile de la légitimité de l’organisation comme leader dans la protection de droits de l’homme doit être remis en cause."


DENI DE L’HOLOCAUSTE. RESOLUTION A/61/L.53 ADOPTEE PAR L’ASSEMBLEE GENERALE DES NATIONS UNIES
(New York, 23 janvier 2007)

 

L’Assemblée générale,

Réaffirmant sa résolution 60/7 du 1er novembre 2005,

Rappelant que la résolution 60/7 fait observer que la mémoire de l’Holocauste est essentielle pour prévenir de futurs actes de génocide,

 

Rappelant également que, pour cette raison, la résolution 60/7 rejette les efforts visant à dénier l’Holocauste, qui, en ignorant l’historicité de ces terribles événements, accroît le risque qu’ils se reproduisent,

 

Notant que tous les peuples et tous les Etats ont un intérêt vital à ce que le monde soit exempt de génocide,

 

Se félicitant de la mise en place par le Secrétaire général d’un programme de communication intitulé "L’Holocauste et les Nations unies" et se félicitant également de l’inclusion par des Etats membres dans leurs programmes d’enseignement de mesures visant à s’opposer aux tentatives faites pour dénier l’Holocauste ou en réduire l’importance,

 

Notant que le 27 janvier a été désigné par l’Organisation des Nations unies "Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste",

1. Condamne sans réserve tout déni de l’Holocauste ;

2. Engage vivement tous les Etats membres à rejeter sans réserve tout déni de l’Holocauste en tant qu’événement historique, que ce déni soit total ou partiel, ou toute activité menée en ce sens./.

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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 07:41
lu sur le blog vigilances

Les 30 et 31 août 2007 prochain se tiendra à Bruxelles, au Parlement européen, une conférence gentiment intitulée " Conférence internationale de la société civile à l'appui de la paix israélo-palestinienne". Malgré un titre aussi sympathique, il s'agit là d'un mauvais coup porté à l'entente entre les peuples. Pour le comprendre, nous vous invitons à prendre connaissance, si possible immédiatement, du communiqué de la LICRA à ce sujet :

* communiqué de la LICRA à propos de la conférence anti-israélienne patronnée par l'UE les 30 & 31.08.2007 :
http://www.licra.org/index.php?section=detail&cur_rub=1&id=2469

A noter que les députés polonais boycottent cette conférence :
http://www.upjf.org/preview.do?noArticle=13024


Cette conférence s'inscrit dans la logique de la conférence "Durban 2" prévue pour 2009, dénoncée par le président de la LICRA, P. Gaubert, dans sa lettre du 16 juillet 2007, nous vous invitons à lire et, le cas échéant, à diffuser autour de vous : http://www.licra.org/print.php?id=2434

Il faut en tout cas prendre le temps d'étudier et faire connaître le rapport de Malka Marcovich pour la LICRA concernant le conseil des droits de l'homme : http://www.licra.org/index.php?section=detail&cur_rub=1&id=2468

A noter, la sortie du numéro d'Avril-Juillet 2007 de la revue les "Temps Modernes", n°643-644, qui publie un article de M. Marcovich intitulé : "ONU 2001-2007 : Durban ou l'éternel retour".

Enfin, je vous rappelle que vous pouvez tester vos connaissances et celles de vos amis sur le conseil des droits de l'homme de l'ONU avec le Quizz d'Anatole :
http://vigilances.blogspot.com/2007/07/durban-onu-quizz-jeu-de-liso-8859.html


P.S. : dernière nomination en date en cette fin août 2007 pour la préparation de cette conférence contre le racisme que prétendra être "Durban 2" : la République islamique d'Iran, rien que ça, a été choisie par l'ONU pour occuper une « position dirigeante » dans la préparation de ce futur soi-disant sommet "contre le racisme" : http://www.desinfos.com/article.php?id_article=8015
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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 07:01
(When reality tells a different story)
par jc durbant

Instructif état des lieux, par l’éditorialiste du Jerusalem Post Caroline Glick, des différentes coalitions, réelles et imaginaires, actuellement en place dans le voisinage plus ou moins immédiat d’Israël.

Où l’on (re)découvre, quand on laisse parler la réalité du terrain (autrement dit en termes d’efficacité militaire) et au-delà des éventuels bénéfices politiques et diplomatiques d’une alliance, une tout autre histoire que celle que nos dirigeants et médias veulent bien nous raconter.

Ainsi en Irak, après nous avoir bassiné pendant des années sur les meilleures compétences supposées de l’approche britannique dans le Sud par rapport aux méthodes frustres des “cowboys” américains, nos chers médias sont bien obligés de reconnaître la réalité de ce qui ressemble furieusement à tout sauf à une victoire face à une (certes prévisible) enclave de facto iranienne.

De même, un an après le retrait de Gaza, la prétendue coopération de l’Egypte (par laquelle continue à arriver l’armement du Hamas) ou du Fatah (qui vient de faire passer, pour payer ses fonctionnaires, à son prétendu ennemi les 100 millions de $ qu’Israël lui avait transférés) avec Israël face aux terroristes du Hamas est finalement en train de se révéler pour ce qu’elle est: une grosse plaisanterie.

Enfin, à une semaine de la fin de son mandat, qui peut encore ignorer (mis à part, pour ses propres raisons, le gouvernement Olmert) que (quand elle ne leur fournissait pas, en pleine guerre, des informations en temps réel sur les mouvements de troupes israéliens) la FINUL s’est au mieux contentée d’accompagner le réarmement et l’installation durable du Hezbollah dans le Sud-Liban (notamment via l’empêchement du retour des chrétiens)?

 

Etant donné la performance britannique à Bassorah, un retrait britannique ferait plutôt progresser que reculer les intérêts stratégiques des USA en Irak. (…) De leur côté, les Britanniques on fait clairement savoir qu’ils retireront leurs forces de manière à minimiser l’embarras des USA.

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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 07:00

Dr. Joel Fishman pour Makor Rishon vendredi 24 août 2007

Titre original : The Parable of Uncle Sam and Aunt Jane
Traduction : Objectif-info
Le week-end dernier, les représentants des États-Unis et d'Israël ont annoncé le succès d'une négociation sur la fourniture d'armements qui s'est conclue par un accord avantageux. Les journalistes ont longuement souligné que l'arrangement était particulièrement attractif parce qu'il ne contenait aucune condition restrictive pour l'utilisation de ces armements ; de plus il pourrait être exécuté sous forme d'achats auprès d'entreprises israéliennes à concurrence du quart de son montant total. Nicolas Burns, le sous-secrétaire d'état aux affaires politiques a indiqué que l'accord ne contenait ni condition particulière, ni annexe, et que cette aide ne dépendait pas des choix de la politique israélienne. Selon Herb Keinon, le journaliste chargé des questions diplomatiques du Jérusalem Post, Burns a souligné que l'aide intervenait à un moment où l'Iran "revient 'au premier plan' et cherche en même temps à se doter d'armes nucléaires et à étendre ses moyens conventionnels d'influence dans la région." Il a ajouté : "nous observons cette région et nous sommes convaincus que l'existence d'un Israël fort et en sécurité est dans l'intérêt des États-Unis. (11 août)." Alors que cette déclaration témoigne d'une politique américaine généreuse, on peut facilement imaginer qu'il pourrait bien y avoir, derrière cette transaction avantageuse et ce calendrier, un développement inédit dans le dialogue bilatéral israélo-américain.

Une anecdote brève mais véridique peut contribuer à éclairer la situation. Un vieil ami de l'époque de mes études universitaires issu d'une bonne famille de Boston me raconta il y a longtemps l'histoire de sa défunte grande tante Jane. Quand elle mourut, ses héritiers découvrirent qu'elle possédait une collection extraordinaire de bijoux de haute joaillerie. Tante Jane était une belle femme qui avait épousé successivement quatre messieurs très riches, qui étaient tous beaucoup plus vieux qu'elle. Comme ses maris successifs ne pouvaient pas l'honorer autrement, ils lui offrirent des bijoux onéreux à titre de compensation.

De fait, il n'y a rien mal à accepter des cadeaux coûteux, en particulier quand le donateur est un ami qui ne pose pas de conditions à son aussi grande générosité. La question qui se pose ici est de savoir ce que cette nouvelle contribution américaine a à voir avec le cas de la tante Jane. N'est-ce pas, en dépit de l'affection personnelle que le Président Bush éprouve pour Israël, parce que les États-Unis sont dans l'incapacité d'intervenir militairement pour empêcher l'Iran de devenir une puissance nucléaire ?

Deux raisons vont dans le sens de cette interprétation. Premièrement, le président Bush, qui doit défendre en permanence la poursuite de la guerre en Irak contre une opposition intérieure féroce, n'est pas en mesure de lancer une autre campagne militaire au Moyen-Orient. En outre, son mandat présidentiel approche de son terme

Deuxièmement, l'Amérique ne peut pas obliger ses partenaires européens à rejoindre une coalition pour une intervention militaire contre l'Iran. Les pays européens, unis au sein de l'Union européenne, ont adopté une politique étrangère commune et ils n'ont pas vraiment intérêt à aider l'Amérique à consolider sa présence dans la région. Ils préféreraient en réalité prendre la place de l'Amérique et s'assurer le contrôle des ressources naturelles de l'hémisphère. Il est possible que l'Union européenne incline pour une Amérique affaiblie, même cela se traduisait par un Iran nucléaire.

Le tableau tracé ci-dessus, même s'il n'est correct qu'en partie, peut expliquer pourquoi l'oncle Sam est en train d'offrir à l'État d'Israël des cadeaux d'une valeur pareille.

Le Dr. Joël Fisman est membre du Centre de Jérusalem pour les Affaires Publiques. (Jerusalem Center for Public Affairs)
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24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 05:27

 l'islam selon Wafa Sultan

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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 00:47
Ron Breyman - Arouts Sheva 
lundi 20 août 2007 - 13:11

Ceux qui souhaitent anéantir l’Etat d’Israël n’auront pas à faire trop d’efforts, puisque nous nous en chargeons nous-mêmes.


Le ministre israélien de la «Défense», celui-là même qui, il y a sept ans, a provoqué la fuite de Tsahal du Liban et a semé les graines de la deuxième guerre du Liban, celui-là même qui a procuré à Nasrallah le contexte idéal pour son célèbre discours des «toiles d’araignée», a dit un jour que s’il avait été palestinien, il aurait rejoint une organisation terroriste. A l’heure de son retour sur le siège dont il a été honteusement renvoyé lors des élections de 2001, il fait de nouvelles prouesses en montant cette fois l’Armée de Défense d’Israël contre les citoyens israéliens.

Je me suis rappelé les propos de Barak, qui passe pour un génie analytique, et je me suis demandé ce que j'aurais fait si j’avais été palestinien ? A vrai dire, je crois que je n’aurais rien fait du tout.

Si j’avais été palestinien, j’aurais tout simplement attendu les Juifs. Ils se montrent si impatients de vendre leur terre – excusez-moi, je veux dire, donner, abandonner, puisqu’il s’agit d’une «vente» non «rémunérée» - au point qu’ils courent après leur ennemi, en le suppliant, dans l’espoir qu’il accepte de prendre leur patrie.

Dans le passé, Ehoud B. avait proposé à Arafat 95% du cœur de la Terre d’Israël et en échange, il reçut la guerre d’Oslo ; Ehoud O., encouragé par Shimon Pérès, l’architecte de la guerre d’Oslo, propose à présent au négationniste de la Choa Abou Mazen 100% du cœur du pays. Si, à D. ne plaise, Tsippi Livni, qui aspire à remplacer Olmert, finit par obtenir le siège convoité, elle risque semble-t-il, de proposer à l’ennemi 105% du cœur du pays. C’est ce qui sera fait à l’ennemi que le roi des Juifs souhaite honorer !

Dans ce cas, pourquoi se presser ? On peut faire la bise à Ehoud O. à Yériho et à Ismaïl Haniyeh à Gaza, recevoir des armes des Juifs et de l’argent des Européens afin de renforcer les bons terroristes et montrer à Haled Mishal qu’en se servant de manœuvres de «paix», on peut tirer beaucoup plus des Juifs que par la guerre…

En attendant, les mauvais terroristes, leurs frères d’armes, continueront de se fortifier et de s’armer : les Juifs leur fourniront le ciment pour la construction de bunkers grâce auxquels ils verseront le sang des soldats de Tsahal, les Egyptiens pourront continuer de les fournir en armes par des voies terrestres et souterraines et le grand frère de Téhéran pourra continuer de leur verser de l’argent. Israël, qui fut autrefois le symbole de la détermination dans le combat contre le terrorisme, a fini par le soutenir au nom de la «paix» !

De jour en jour, de nouveaux états palestiniens apparaissent dans notre région. L’idéal des «deux états» est dépassé. Aujourd'hui, il y a l’état palestinien des mauvais palestiniens à Gaza et on propose aux bons terroristes un autre état en Judée Samarie - les médias israéliens par exemple, ont oublié que le propriétaire de la Judée et de la Samarie est encore Tsahal après tout, et se comporte comme si le «Président» Abbas était le propriétaire du cœur de notre Terre- et bien sûr, il y a un troisième état palestinien, à l’Est du fleuve de la Jordanie.

Ce qui nous reste à faire afin de réaliser le rêve de la «grande Palestine», c’est de créer un quatrième état palestinien, de la mer à la ligne verte, pour la gloire des Arabes d’Israël.


Si j’étais palestinien, je ne me presserais pas. «Le travail des Justes est fait par les Juifs» Celle qui s’est mobilisée pour faire progresser l’idée d’un état palestinien à l’intérieur de la ligne verte, est notre illustre ministre de «l’Education», qui distribue aux tendres élèves de CE2 en Galilée et dans le Néguev (le ministre qui faisait de grands discours à propos du développement de ces régions les a abandonnées pour la résidence présidentielle) un manuel qui inclue les données prescrites par l’ennemi. Comment pourrons-nous nous plaindre de l’incitation à la violence dont les manuels de l’Autorité terroriste palestinienne sont truffés ? Leur version hébraïque, qui vient de sortir, dessine les contours d’un Etat d’Israël suicidaire !

Si j’étais palestinien, je ne presserais pas. En attendant, les Juifs se tuent les uns les autres sur les routes et dans les rues, tuent et assassinent, violent et volent ici et là… Ils demandent : pourquoi ne voit-on pas plus de policiers dans les rues ? Où est le ministre de la «Sécurité intérieure»?

Il semble que la Police, de même que Tsahal, ne manque ni de main-d’œuvre, ni de budgets. Ceux qui n’ont pas vu les 3 000 policiers se jeter sur deux familles et leurs 14 enfants à Hévron, n’ont jamais vu une opération aussi précise et coordonnée de leur vie ou plus exactement, depuis l’expulsion rigoureuse et exécutée avec précision, des Juifs de la bande de Gaza et du Nord de la Samarie par leurs frères en uniformes noirs impeccables et équipés comme il se doit pour une opération aussi importante !

Si j’étais palestinien, je ne me presserais pas le moins du monde. Les Juifs ne se sont jamais montrés aussi empressés et méthodiques que pour la préparation du terrain pour la gloire des futurs états palestiniens. Même les Juifs du monde entier se sont unis, par l’intermédiaire du Keren Kayemet Leismaël, pour donner un peu plus de terre à ceux qui jusqu’à ce jour, se serraient dans l’espace minuscule entre Casablanca et Téhéran.

Ron Breyman a présidé le Forum des professeurs pour un Israël fort dans les années 2001-2005.
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